mercredi 29 avril 2015

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 Extrait de Wikipédia.

 Théories

Jalousie amoureuse

La jalousie amoureuse est une émotion empreinte d'agressivité qui est la conséquence de la peur de perdre l'être aimé ou l'exclusivité de son amour, au profit d'une autre personne – sentiment qui peut être fondé sur l'imagination et non sur des faits7. Lorsqu'elle est permanente ou excessive, la jalousie est une forme de paranoïa8 et est attachée à une relation « amoureuse » sur un mode possessif voire exclusif7. Dans Othello ou le Maure de Venise, William Shakespeare fait décrire à Iago la jalousie comme un "monstre qui se moque de la victime dont il se nourrit" 9. La jalousie amoureuse ne peut naître si les partenaires ont une relation de confiance, mais cette notion reste subjective chez l'individu jaloux. La jalousie est d'autant plus importante que l'individu jaloux a le sentiment que son équilibre psychologique repose sur le fait d'être lié à la personne désirée : la jalousie est donc une problématique d'attachement propre au jaloux qui a un besoin d'être rassuré, alors même, qu'à tort ou à raison, le sentiment peut être fondé sur l'imagination. Il est à noter que l'individu jaloux reproduit généralement les mêmes schémas vis-à-vis de tous ses partenaires[réf. nécessaire]. L'individu jaloux peut alors être effacé dans le couple : il cherche à posséder son partenaire à tout prix et, pour éviter de le perdre, se met rarement en opposition en acceptant des compromis[réf. nécessaire]. Mais ce comportement peut alors renforcer davantage son sentiment d'insécurité notamment lorsque le partenaire conserve une liberté à l'extérieur du couple, le jaloux ne devenant plus l'unique bénéficiaire d'un partenaire.
La jalousie amoureuse est souvent apparentée à la possession, éventuellement à la haine ; ce sentiment existe aussi bien chez les hommes et les femmes. Par exemple, un individu jaloux déteste voir ou imaginer son partenaire passer du temps avec d’autres personnes, pas seulement parce qu'elle est privée de sa présence, mais aussi parce qu’elle s'estime seule bénéficiaire légitime de l’attention de son partenaire. C'est un sentiment d'exclusivité qui peut priver le partenaire de liberté10. La jalousie se produit dans le cadre d’une relation à trois (ce qui la différencie de l'envie ou d'être envieux), lorsque quelqu’un (l'individu jaloux, qui peut être de n'importe quel sexe) estime qu’un deuxième individu se comporte pour un tiers (une troisième personne, un groupe, voire une chose) d’une façon qui menace selon lui à tort ou à raison la relation du couple et plus particulièrement sa place dans le couple. Le jaloux en conçoit du ressentiment, des reproches, des doutes, qu’il adresse aux deux autres, avec généralement une focalisation sur la deuxième personne. L'essence du comportement jaloux ne réside pas dans cette inquiétude, parfois imaginaire, pour le couple, ni dans le fait d'agir, mais dans l'intensité émotionnelle excessive qui l'accompagne et qui compromet le succès de cette action. Les conséquences peuvent nuire à l'équilibre et à la communication dans le couple10, l'individu jaloux exprimant parfois la possession de façon permanente, excessive, exclusive ou récurrente représentant souvent une jalousie maladive, ainsi la jalousie est une forme de paranoïa8. L'individu jaloux se sent libéré de sa jalousie uniquement lorsqu'il passe du temps avec son partenaire seul, ce qui à terme compromet la liberté du partenaire, chez qui la frustration peut naître avec le temps[réf. souhaitée]. La jalousie évolue souvent par crise (délires). En littérature, une étude de la jalousie est proposée dans Un amour de Swann de Marcel Proust.

mardi 28 avril 2015

Ils ont tous des têtes bien pleines…



...Mais rarement bien faites ! C’est ce que l’on peut constater tous les jours depuis longtemps en regardant s’agiter les représentants du peuple (le peuple, c'est-à-dire nous), que nous n’élisons que par défaut…

Qu’est-ce qui nous prend à chaque fois de voter pour des têtes bien pleines, mais endoctrinées dans le même moule Énarco-libéral ? Ce sont des grosses têtes, capables des plus belles phrases, des plus grandes escroqueries financières ou morales, des attitudes les plus diplomatico-correctes… Mais qu’en est-il de leur raisonnement, de leur jugement, de leur recul, de leur honnêteté intellectuelle ? Ce sont hélas des gens à peine moyens, plus habitués à des joutes verbales qu’à des réflexions sur la pertinence des processus sociétaux.

J’ai beaucoup fréquenté les gens de peu, ceux qui construisent la France réelle avec des actes et non des mots. Je dois bien avouer que j’ai trouvé bien plus de bon sens et de sagesse chez ces gens que j’admire, que chez les politicards pour lesquels je n’éprouve, tout au plus, que commisération pour leur bêtise congénitale et souvent pour leur esprit de prédation…

Et en plus, on laisse ces grosses têtes se reproduire, à l’aide de cette pépinière Énarchique, sorte de machine à déformer les cerveaux…

Pourquoi toujours considérer l’intelligence à l’aune des diplômes vrais ou faux (Cambadélis, Fioraso) ou des positions sociales des individus ?

Pour ceux qui se souviennent des affaires « Temple du soleil », « Secte Moon », qu’ils pensent au nombre de gens diplômés, réputés compétents dans leur  métier, que l’on a retrouvé victimes de ces sectes. La connaissance ne remplacera jamais l’intelligence. Le savoir ne se substituera jamais à la force du raisonnement et du caractère…

Il devrait être interdit à des gens influençables et sans libre arbitre personnel d’exercer quelque mandat d’élu quel qu’il soit !

A quand un pays gouverné par des sages, au nom du peuple et pour le peuple ?
 
Écrit le 28 avril 2015
 

lundi 27 avril 2015

Pour être intelligent, il faut être connu



Allez proposer une idée nouvelle, fruit d’un long travail d’analyse et de réflexion,
allez offrir une amélioration évidente aux processus actuels,
allez présenter une théorie globalisante qui reprend et fédère toutes les approches expérimentales disparates,
allez démontrer la pertinence de vos argument…
et vous vous ferez rire au nez comme Einstein à ses débuts, menacer de mort comme Galilée, ignoré comme beaucoup de ceux qui ont voulu faire partager au monde leurs découvertes ou leurs innovations.

Seules les propositions de gens puissants, célèbres, ont des chances d’être prises en compte, évaluées, encensées, adoptées…

Encore maintenant, je vois parfois à la télévision, des cas semblables se produire au vu et au su de tout le monde, mais qui, parmi ce monde aux yeux ouverts et au cerveau endormi, s’en émeut, qui comprend la pertinence de certaines découvertes fondamentales ?

J’ai eu à souffrir de l’incompréhension de mes contemporains et de mes pairs, sur des sujets infiniment moins importants que ceux que je viens d’évoquer. Cela aussi, pèse tout le long de notre vie, lorsque l’on ne parvient pas à faire comprendre que l’on a raison, lorsque même après une démonstration magistrale, l’auditoire reste sceptique et dédaigneux.
Jusqu’au jour où quelqu’un de plus en vue est ovationné pour une idée que pourtant nous avions eue. Lui, a la gloire et nous, l’amertume… Alors on le soutient, parce que défendre son idée, c'est défendre la nôtre et si lui est reconnu, nous le sommes un peu aussi...

Parfois, vous avez la chance de trouver dans les manuels existants écrits par autrui, les éléments de preuve en faveur de votre démonstration, que vous exposez à l'assistance esbaudie ! Et là, c’est un intense bonheur. Vous êtes reconnu ! Et même au-delà de vos espérances ! L’engouement et l’admiration que l’on vous porte (en sus des intenses jalousies que vous ne manquez pas de provoquer) est telle que l’on vous pardonne tout, que l’on est prêt à gober toutes les inventions ultérieures issues de votre cerveau, même si elles sont médiocres. Vous bénéficiez alors d’un a priori extrêmement favorable et pourtant aussi injuste que l'était votre situation antérieure.

Vous devenez réputé, donc intelligent.

Pauvres esprits humains embrumés par l’influence !

Si vous êtes intelligent et le seul à le savoir, vous êtes pour le reste du monde, le plus grand idiot de la terre.

PS : L’esprit humain est aussi sous l’influence embrumée d’idées rabâchées, les doxas. Mais c’est un autre sujet, très intimement lié à celui que je viens d’évoquer.

dimanche 26 avril 2015

Nous n'existons pas



Lorsque l’on est mauvais fils, mauvais père, peut-on exister ?
Lorsque l’on passe une vie plongée dans un labeur, pour survivre et pour ne pas penser, peut-on exister ?
Lorsque l’on passe sa vie, avec les autres, sans voir sa famille, sans voir ceux qui nous sont proches, peut-on exister ?

L’amour existe-t-il ? L’amitié existe-t-elle ?
Ce sont des constructions chimériques de l’esprit, comme peut l’être également la conception du bonheur.

On se rapproche de ces autres pour se sentir moins seul. On vit par procuration.

Sommes-nous quelqu’un ? Sommes-nous quelque chose ?
Nous sommes des créatures douées pour la fuite en avant. Nous fuyons sans cesse, dans la plus grande solitude.
Notre esprit échafaude des idées, des concepts, pour oublier notre finitude.
Parce que nous pensons, nous nous donnons l’illusion d’être éternels.
Nous ne sommes rien.

A VEOLIA – Direction des Ressources humaines (22 février 2012)




NDLA : Les médias annoncèrent que  Borloo  allait entrer au conseil de surveillance dudit groupe international, retour d'ascenseur et cadeau habituels dans un certain monde qui plane sur nos têtes... Qu'avait-il donc de plus que moi ? Je tentais donc ma chance...

Monsieur le Directeur des ressources humaines de Véolia,

J’ai l’honneur de vous présenter ma candidature au poste de président du conseil de surveillance de votre entreprise.

En effet, j’ai fondé et dirigé une entreprise de taille internationale intercommunale de taille respectable (4 personnes), j’ai surmonté victorieusement deux crises successives et je pense être l’homme de la situation…

Je tiens à vous informer que mon collègue Baloo, Borloo, lui, à part avoir fondé un petit cabinet d'avocats poussif, n’a jamais dirigé la moindre entreprise et n’a jamais pu accéder qu’à des fonctions sans responsabilités, comme ministre par exemple.

(On dit par ailleurs qu’il sent l’alcool dès le matin et s’endort dans les conseils des ministres).

Je pense que vous tiendrez à muscler votre groupe international en choisissant ma candidature, la plus apte à adapter vos processus financiers aux exigences de demain.

Je suis à votre disposition pour tout entretien avec les actionnaires importants, que vous voudrez bien solliciter.

(Je tiens à préciser que j'ai beaucoup de relations et pourrais jouer de mon influence afin qu'un homme de valeur comme vous obtienne enfin le poste qu'il mérite)...

Veuillez agréer, Monsieur le Directeur des ressources humaines…

NDLA : J'attends encore la réponse. Je crois que c'est mort... Quoiqu'il soit bien entendu, que je n'attendais absolument aucune offre de poste en réponse à mon pamphlet... Et de plus, je sais bien que les larbins dépouilleurs de courrier ont filtré et jeté ma missive avant qu'elle atteigne son but... J'ai dépensé un timbre pour que dalle !!!
        

C’était le 21 février 2005. Plus de dix ans déjà !

Écrit le 23 février 2012

Que n’es-tu encore là ? C’est à la période de ma vie où je te comprends enfin, où j’aurais le plus besoin de parler avec toi, que je ne peux plus le faire.
Comment as-tu géré la séparation avec tes enfants ? Combien tu souffrais à chaque fois que nous partions ? L’inquiétude que tu avais pour notre santé et notre réussite ?

J’ai mille questions à te poser, mais tu n’es plus là. Toi, le roc, l’icône, en qui j’avais une foi immuable, une confiance absolue.
Je ne t’ai pas vu vieillir. Tu m’as dit en 2004 «  Tu vois, cette fois le bon Dieu ne sauvera pas ma vie une troisième fois. Pour moi, c’est bientôt l’heure du départ ».
J’ai hypocritement répondu « Mais non Papa »… Que ne t’ai-je pas serré dans mes bras ? Que ne t’ai-je dis « Tu me réserveras une place là haut mon Papa », plutôt que de nier une évidence que tu étais prêt à affronter…

Mais ce 21 février 2005, à vingt heures et 17 à 20 minutes, j’ai senti ton âme qui s’envolait. Je sais depuis ce jour, que tu es éternel. Je sais que je te reverrais. Et même si tu me manques maintenant, même si tes conseils et ta sagesse me font défaut, je sais que nous nous reverrons bientôt.

Mon Papa, tu es aux cieux ;
Que ton nom soit sanctifié ;
Que ton repos soit éternel ;
Que tes conseils me parviennent du haut de ton ciel.
Donne-moi aujourd’hui ta force pour demain.
Pardonne mes offenses et apprends-moi à pardonner à ceux qui m’ont offensé.
Ne me laisse pas succomber à la tentation.
Et délivre-moi du mal.
Je t’aimerai toujours,
Mon Papa.
       

Résumé réel "Des paroles et des actes" par "OUIE-DIRE" (Ecrit le 10 mars 2012 à minuit)



Comment c'était ?

Très bien ! Ces deux épisodes inédits du Docteur House sont toujours passionnants de cynisme, de drôlerie et d'imprévu...

Ah ? Vous vouliez parler de 'des paroles et des actes' ???
Si je me fie aux commentaires, match nul ! Exemple :

- Une militante UMP : Monsieur le Président était dans une forme, une fraicheur, une décontraction et une sincérité jamais atteinte !

- Une militante du PS : Sarkozy a joué le même rôle qu'en 2007. Il était tendu, nerveux, sur la défensive. Il a été déstabilisé et a été agressif !

Mais je ne me fie pas aux gens subjectifs...

J'ai visionné des extraits après coup. Il en ressort que :

* Il a osé dire qu'on le calomniait en le qualifiant de président des riches, lui qui a sauvegardé l'ISF ! Excusez moi, je m'étouffe tellement je suis estomaqué par l'aplomb que présentait ce gros menteur ! Ses conneries en la matière coûtent plus de 2 milliards annuels au budget...
* Il a agressé verbalement ses interlocuteurs, qu'il a pris à partie à chaque fois qu'il y avait une question dérangeante qu'il a ainsi esquivée. Comme d'hab !
* Il se pose en "moi, je", il affirme la confiance des Français dans ses paroles; Ouahahahahahah ! Mais que c'est drôle ! Peut-être la confiance des mongoliens, des Alzheimeriens, ou de ses partisans qui savent qu'il est de leur coté derrière ses mensonges populistes...

Bon ! Bien sur, qu'il était très bon dans son exercice de comédien ! Quel talent ! Il est le Sganarelle de la Politique ! C'est d'ailleurs pour cela que 12 % de l'électorat s'est fait baiser par sa parole en 2007 ! (Mais je ne sais pas s'ils apprécieront à nouveau la sodomie...)

Cet illusionniste des mots est comme le regretté magicien comique MAC RONAY : Il illusionne par ses mots, mais il désillusionne par ses tours de magie qu'il rate tous sans exception... Sauf que nous, dans le cas de Sarko, on ne rit pas, parce que nous sommes à chaque fois les victimes...

NDLA : Finalement mon résumé anticipé était le scenario relativement fidèle de cette émission de merde. Je n'ai pas regretté de regarder "House"... 
   

Résumé anticipé de "Des paroles et des actes" (Ecrit le 10 mars 2012)



NDLA : Le soir de ce jour là, 10 mars 2012,  le monarque de l'époque devait donner une représentation grand-guignolesque sur le petit écran, comme à son habitude, la soupe servie par les habituels pantins de service...

Ce soir, je vais regarder le Dr House...

Mais pour ceux qui voudraient faire comme moi, mais qui regrettent de ne pas voir l'émission, je vais résumer d'avance, comme ça vous ne perdrez rien...

- Bonsoir M le Président. D'entrée, je vous demande quel est votre programme ?
- Bonsoir M Puchadas. Che vais faire ce qui n'a pas été fait par mon prédécesseur depuis 2007.
- Mais c'est vous le prédécesseur, M le Président !
- Ne mélanchez pas tout M Puchadas ! Che suis candidat. Che ne suis pas responsable de ce qui s'est passé avant que che sois candidat !

- Heu... Oui... C'est évident, mais...
- C'est bien vous les journalistes, vous mettez en doute la parole de votre Président. Est-ce que che vous dis " Vous n'êtes peut-être pas chournaliste, Monsieur Puchadas ? ". Est-ce que che remets en cause votre compétence, même si bien sur, ch'ai de forts doutes à votre suchet et sur votre lonchévité à la Télévision ?

- Heu, oui vous avez entièrement raison M le président. Donc parlons de votre programme, si vous le voulez bien.
- Travailler plus pour gagner plus, le bouclier fiscal, ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux, réformer la retraite, passer le karcher, répression zéro, diminuer l'immigration...

- Mais tout le monde dit que c'est du copier-coller de votre programme de 2007...
- Ah non, pas vous ! Vous n'allez pas vous rancher aux calomnies des uns et des autres, Monsieur Puchadas ! Che vous rappelle que ch'ai nommé le directeur de France 2. Et que ch'est votre patron, n'est-che pas ?...
D'abord qui vous dit que mon prédécesseur a bien fait son travail depuis cinq ans, hein ?

-Heu c'est vous qui... J'ai rien dit ! Donc, nous abordons votre bilan Monsieur le Président. Quels sont les points forts de votre bilan ?
- Mon point fort est d'être le candidat de tous les Français qui veulent une France Forte, qui attendent des actes conformes aux promesses. Et che suis le mieux placé pour cela, car les Français ont tous une confiance en moi entièrement méritée d'ailleurs...

...... Bla bla bla... Che suis... Bla bla bla... C'est très dur d'être président, vous savez. Mais che suis là pour ça et che ne m'en plains pas... Bla bla bla... Che suis là pour me remplir les... pour remplir les promesses que che fais aux Français... Bla bla bla...
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Montauban -Toulouse, A qui profite le crime ? (Ecrit les 22 et 23 mars 2012)



Finalement qui est l'assassin ?

Je crois que, plutôt qu'un agent dormant d'Al-Qaïda, on ait eu à faire à un pauvre type en mal de reconnaissance. Un type qui aurait escaladé l'Everest, sauvé plein de vies humaines, ou bien massacré, comme c’est hélas le cas, pour devenir enfin ce personnage vengé d'une société qui n'a pas voulu de lui... Et surtout, dont il n'a pas voulu !

Ah... Martyr d'une cause, immortalisé dans l'histoire, enfin célèbre, quel bonheur ! Bonheur de minable !
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Il était grand temps que cela se termine comme cela s'est terminé, avec une morale universelle : le méchant a perdu, le méchant a été puni. Car même si c'était un pauvre type, il ne doit y avoir aucune excuse qui tienne vis à vis de ce qui est un atroce assassinat en série, avec toute la cruauté la plus inimaginable...

Le temps qui passait, donnait l’occasion aux médias qui n'en ratent jamais une, de glorifier ce triste individu, dont les propos étaient relayés par la police : Pub gratuite sur grande audience à la une des quotidiens ! Prêchons le bon exemple de la star Momo les bons pruneaux au sourire éclatant Email-Diamant !

Oui, il était temps que cela se termine, car il aurait fini en héros, ce qui aurait été un comble !

L'exécutif a retardé l'assaut afin de se donner figure humaniste : L’attraper vivant ! Mais il est des cas, où un report si long passe pour de la faiblesse ou même de la commisération déplacée...

Alors à qui profite le crime ?

-A Al-Qaïda
-A Israël
-Au terroriste abattu qui a eu son crépuscule des dieux de martyr et qui va peut-être faire des émules, émoustillés par toutes ces vierges les attendant soit-disant au paradis d'Allah ?
-Un peu au pouvoir Français qui engrange le bénéfice du professionnalisme de ses services régaliens, bien qu'il n'ait pas géré sainement le dénouement de l'action... ?

NDLA : Acte isolé, oui ! Terroriste par envie de gloire, oui ! Puis nous avons su par la suite que l'endoctrinement extrémiste islamiste était omniprésent autour de ce minable et concourait largement à ses mobiles...

Le RAID, après Toulouse... (Ecrit le 22 mars 2012)



A cause des mauvaises consignes du pouvoir exécutif et des tergiversations laxistes,

Le RAID va changer de nom. Il s’appellera désormais : Le FLASQUE !

NDLA : Pour moi, il n'y avait pas à appliquer le droit à une telle barbarie, mais seulement la loi du talion !

Montauban - Toulouse, Complot politique ? (Ecrit le 19 mars 2012)



1 militaire Français noir, 3 militaires Français d'origine magrébine, 1 homme et 3 enfants Français juifs, assassinés en une semaine...

Est-ce l’œuvre d'un fou ?
Un fou aurait-il écarté une personne âgée pour ne pas la blesser ?... Il n'était pas question semble-t-il de faire du mal à personne d'autre que les cibles choisies...

Les quatre premières victimes n'avaient pas créé d'émotion particulière. On dirait que le mitraillage de ce matin était destiné à atteindre un degré d'émotion suffisant.

Al Qaida (Terrorisme anti-occidental) ?
Pourquoi tuer un noir ?

Antisémitisme ?
Pourquoi tuer 4 non-juifs ?

Aucunes personnalités visées. Quel point commun entre les victimes ? Des minorités visibles !
Black, Beur, Juif, le choix des victimes est destiné à faire penser à un crime raciste total ?
En tous cas, rien ne nous fait penser au type de terrorisme genre "Carlos" ni "Brigades Rouges" ni "Bande à Bader". Que penser ?

Les armes utilisées sont professionnelles, le tueur a effacé ses empreintes des chargeurs trouvés sur place. Il fait preuve d'un sang-froid et d'une organisation qui font penser à un commando des forces spéciales plutôt qu'à un exalté kamikaze...

Et si le but était d'émouvoir et d'indigner les électeurs et de détourner leur attention de la campagne présidentielle ?
Et si le coupable était découvert juste avant les élections, de façon à nuire à telle ou telle formation politique gênante ?
Hasard qui tombe mal, ou bien ?
Qui retrouvera éventuellement le coupable ? Forcément, le pouvoir actuel !
Qui va se donner un mal de chien dans cette quête ? Le pouvoir actuel !

A qui peut profiter le crime ?

NDLA : Ce jour-là l'examen des faits ne permettait pas vraiment d'envisager la possibilité d'un acte terroriste d'un type nouveau, tant certains faits se contredisaient...

samedi 25 avril 2015

Le piège de la compassion



Combien de fois certains d’entre nous ont-ils vécu cette expérience ?

Une personne se confie, s’épanche sur votre épaule et puis un jour quand elle va mieux, elle vous évite et ne vous connais plus. J’appellerai cela le syndrome Patient-psychanalyste.

Car il n’est nul besoin d’être psy pour être à l’écoute de son prochain. Comme ces professionnels, souvent autoproclamés, nous avons plus ou moins une capacité à écouter, ce qui apporte un réconfort à celui qui parle…
Mais comme ces pros, nous avons toujours le tort d’avoir écouté l’autre dans sa période de détresse et d’abandon. Lorsque cette personne va mieux, elle a honte de s’être laissée aller et elle en veut à celui ou celle qui l’a simplement entendue, voire réconfortée, de plus elle reporte sur lui la charge émotionnelle de ce vécu qu’elle lui raconte. Une sorte de transfert de haine libérateur, en quelque sorte…

C’est ensuite à nous de faire le deuil de ce que l’on croyait être une relation sincère. Il n’y a pas de complicité dans l’écoute des autres et c’est un piège que de le croire. S’il n’y a pas de curiosité malsaine (ce qui est parfois le cas), il y a à tous coups bêtise, car absorber le mal d’autrui, puis son indifférence, c’est souffrir un peu à la place de l’autre.
C’est d’ailleurs ce transfert entre patient et psy qui est la base de ce type de thérapie.
Lorsque le patient a réussi à quitter sa dépendance, il hait ensuite son thérapeute.

Lorsque l’on est un particulier lambda, non préparé à ce genre d’expérience et surtout non ‘blindé’, il vaut mieux réserver ce genre d’attitude bienveillante à des gens extrêmement proches : Parents, enfants, famille et encore pas tous les membres de la famille, seulement ceux qui ont confiance en nous et qui nous aiment…

Le principe des impôts expliqué aux enfants.



Ecrit par David R. Kamerschen, professeur d'économie.

Mais beaucoup, pourtant, ne le saisissent pas toujours ....

Comme c'est la saison des taxes et impôts, laissez-moi vous l'expliquer en termes simples que tout le monde peut comprendre.

 Imaginons que tous les jours, 10 amis se retrouvent pour boire une bière et que l'addition totale se monte à 100 euros.
(On reste dans le simple : cela ferait 10 euros par personne !)
Note de Zalandeau : Ce sont des bières chères, mais qu’importe !
Mais nos 10 amis décidèrent de payer cette facture selon une répartition qui s'inspire du calcul de l'impôt sur le revenu !

Ce qui donna ceci :

-      Les 4 premiers (les 4 plus pauvres !), ne paient RIEN.
-      Le 5ème paye 1 euro ;
-      Le 6ème paye 3 euros ;
-      Le 7ème paye 7 euros ;
-      Le 8ème paye 12 euros ;
-      Le 9ème paye 18 euros ;
-      Le dernier (le plus riche !) paye 59 euros.

Les dix hommes se retrouvèrent chaque jour à boire leur bière et semblaient assez contents de leur arrangement.

Jusqu'au jour où le tenancier décida de leur faire une remise de fidélité !
« Comme vous êtes de bons clients, j'ai décidé de vous faire une remise de 20 euros sur la facture totale ...
 ... vous ne payerez donc désormais vos 10 bières que 80 euros ! »

Le groupe décida de continuer à payer la nouvelle somme de la même façon qu'ils auraient payé leurs taxes.

Les 4 premiers continuèrent à boire gratuitement.
Mais comment les 6 autres, (les clients payants) allaient-ils diviser les 20 euros de remise de façon équitable ???

Ils réalisèrent que 20 euros divisé par 6 faisaient 3,33 euros.

Mais, s'ils soustrayaient cette somme de leur partage, alors le 5ème et 6ème homme devraient être payés pour boire leur bière !!!
Le tenancier du bar suggéra qu'il serait plus équitable de réduire l'addition de chacun d'un pourcentage du même ordre.

Il fit donc les calculs ... ce qui donna ceci :

-      Le 5ème homme, comme les quatre premiers ne payeront plus rien. (un pauvre de plus !) ;
-      Le 6ème payera 2 euros au lieu de 3 (33% réduction) ;
-      Le 7ème payera 5 euros au lieu de 7 (28% de réduction) ;
-      Le 8ème payera 9 euros au lieu de 12 (25% de réduction) ;
-      Le 9ème payera 14 euros au lieu de 18 (22% de réduction) ;
-      Le 10ème payera 50 euros au lieu de 59 euros (16% de réduction).

Chacun des six « payants » paya moins qu'avant et les 4 premiers continuèrent à boire gratuitement !!

Mais ... une fois hors du bar, chacun compara son économie :
« J'ai eu seulement 1 euro sur les 20 euros de remise ! », dit le 6ème en désignant du doigt le 10ème il ajouta : « Lui, il en a eu 9 !!! »
« Ouais ! dit le 5ème, j'ai seulement eu 1 euro d'économie moi aussi ... »
« C'est vrai ! » s'exclama le 7ème « pourquoi le 10ème aurait-il 9 euros d'économie alors que je n'en ai eu que deux ? ....
... c’est anormal que ce soit le plus riche qui bénéficie de la plus importante réduction ! »

« Attendez une minute » cria le 1er homme, « nous 4 n'avons rien eu du tout ... donc, ce système exploite les pauvres !!! »

Les 9 hommes cernèrent le 10ème et l'insultèrent ... et le lendemain notre 10ème homme, (le plus riche !) ne vint pas boire sa bière !

Aussi, les 9 autres s'assirent et burent leur bière sans lui.
Mais quant vint le moment de payer leur note, ils découvrirent quelque chose d'important :
Ils n'avaient pas assez d'argent pour payer ne serait-ce que la moitié de l'addition !

Et cela, mes chers amis, est le strict reflet de notre système d'imposition.

Les gens qui payent le plus de taxes tirent le plus de bénéfice d'une réduction d’impôts, mais ceux qui ne paient pas d'impôt s'estiment lésés !
Taxez les plus forts, accusez-les d'être riches et ils risquent de ne plus se montrer désormais ... et d'aller boire leur bière à l'étranger !!!

NDZ et ce sera la moralité valable aussi dans la vie fiscale des Français :
Pour ceux qui ont compris ... aucune explication n'est nécessaire !!!
Pour ceux qui n'ont pas compris ... aucune explication n'est possible !
Et tant pis si les parents sont plus bêtes que les enfants !