lundi 25 mai 2015

Est-ce cela la justice ? Sommes-nous chez nous ?

> Message du 21/05/15 18:34
> De : "Axelle Theillier de l'Institut pour la Justice" <contact@e.institutpourlajustice.org>
> A : ZALANDEAU
> Copie à :
> Objet : " Attends, on va pas partir, on est chez nous "
>
>" Attends, on va pas partir, on est chez nous "
L'Institut pour la Justice est une association loi 1901 en faveur d'une Justice plus protectrice des citoyens et plus équitable vis-à-vis des victimes. Un soucis dans la visualisation? suivez ce lien

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Madame, Monsieur,
Chers amis,

Avez-vous entendu parler de Maryvonne, cette femme de 83 ans mise à la porte de sa propre maison par des squatteurs ?

Ces squatteurs ont profité de son absence pour s’introduire chez elle, en toute illégalité. Et la loi prévoit que, passé 48 heures, la police n’a plus le droit de les déloger !

Je sais que cela paraît invraisemblable, mais c’est la réalité. Plusieurs médias en ont parlé ces derniers jours.

En fait, la police est bien intervenue, mais pas pour déloger les squatteurs mais pour les protéger contre des personnes qui voulaient les expulser!!

En France, on a trop souvent l’impression que le système protège les criminels, pas les victimes.

Prenez le cas de Maryline, 36 ans, qui vit dans la terreur depuis que son violeur a été remis en liberté conditionnelle.

Condamné à deux ans de prison (seulement !), ce violeur récidiviste y est resté six mois.

Et il est revenu habiter… à 150 mètres de chez elle !

C’est elle qui aujourd’hui vit dans l’angoisse de le recroiser sachant qu’il l’avait menacée de mort, elle et ses enfants, pendant le procès !

Et je ne vous parle pas de Vanessa et Philippe qui vivent un véritable enfer depuis plusieurs mois. Ils ont eu leurs pneus crevés, deux voitures brûlées, leur porte défoncée, des fenêtres cassées, et deux cambriolages où la quasi-totalité de leur maison a été tout simplement pillée, jusqu’aux jouets des enfants…

Leur seul tort ? Avoir refusé de se soumettre à la loi d’une bande de jeunes voyous sans foi, ni loi qui terrorisent le quartier, font du trafic de drogues et se considèrent comme chez eux.

Cette famille a déposé plainte plusieurs fois et a fini par aller manifester dans le hall de leur mairie pour crier son angoisse.

Les représailles ont été immédiates : leur voiture de location, péniblement payée avec les faibles revenus du couple, a été brûlée.

Vanessa, Philippe et leurs enfants ont été obligés de fuir leur petite maison et de se réfugier à l'hôtel.

La police dit qu'elle connaît les identités des voyous mais qu’ils sont mineurs donc qu’ils ne risquent rien face à la justice !!

Et les voyous déclarent, tranquillement : « Attends, on va pas partir, on est chez nous ici, qu’est-ce qu’ils croient ? ».

Ce sont les voyous qui dictent leurs conditions !

Il y a pourtant des solutions simples et de bon sens.

Il suffirait que la justice fasse son travail, sérieusement, à l’égard de tous ces délinquants et criminels pour qu’ils cessent du jour au lendemain de pourrir la vie des honnêtes citoyens !

L’Institut pour la Justice lance la plus grande mobilisation nationale jamais organisée pour obliger la justice à protéger réellement les citoyens et victimes.

Faites vous entendre et participez en urgence au grand référendum national sur la justice.

Il y en a assez de voir tant de gens baisser les bras et voir les voyous dicter leur loi.

Mobilisez-vous et signez dès maintenant ce grand référendum.

Si vous avez déjà signé ce référendum, transmettez d’urgence ce mail à tous vos contacts. Il y a urgence, nous devons nous mobiliser comme jamais.

Enfin, si vous souhaitez soutenir les combats, les actions et les informations qui sont envoyées par l’Institut pour la Justice, vous pouvez également faire un don à l’association.

L’Institut pour la Justice refuse toute subvention pour rester totalement indépendant et vous informer en toute liberté des scandales comme cette famille obligée de fuir pour avoir voulu vivre en paix… Mais pour nous permettre d’agir, nous avons besoin de dons, donc si vous souhaitez nous soutenir, rendez-vous ici.

Nous ne devons pas baisser les bras et ne pas nous laisser faire.

Je compte sur vous.

Axelle Theillier
Présidente de l'Institut pour la Justice




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